samedi 7 novembre 2015

Pourquoi le Juifs ne hurlent pas au sujet du film 'STRAIGHT OUTTA COMPTON'



La relation secrète entre «Ice Cube» et les Juifs


Dans l'une des scènes les plus saisissantes du blockbuster Straight Outta Compton, le rappeur Ice Cube à un entretien en bord de piscine avec un journaliste juif qui exige que Cube réponde de son prétendu "antisémitisme". Avec deux Fruit de l'Islam (FOI) à ses côtés Ice Cube réprimande le journaliste, lui serre main, et le vire de sa propriété.

Il est rare (inexistant) qu'un film d'Hollywood ose représenter les entrailles de la légendaire relation Noir-juive. Mais le portrait étonnamment précis de l'animosité que de nombreux artistes noirs ont pour leurs managers, agents et avocats juifs manipulateurs demeure une forte connotation des luttes du groupe dans Straight Outta Compton



Cela n'est pas nouveau dans le rap, mais cela fut supprimé avec succès par des profiteurs puissants du monde du rap underground. Deric Muhammad examine la question assez facilement dans le livre Defending Farrakhan, Book 2 dans son article "La relation secrète entre les rappeurs et les Juifs". Nelson George, dans son livre Hip Hop America, donne les noms d'une vingtaine des blancs qui contrôlent les rappeurs noirs, leurs images et leurs messages. "Fait intéressant", écrit-il, "la majorité de ces hommes et femmes étaient Juifs ..." Seth Gitell idéalise "la relation juive avec le hip-hop, qui était surtout une histoire d'amour". Il confirme que "tout un contingent de jeunes Juifs ... commencèrent à travailler dans l'industrie en tant que producteurs, agent de commercialisation et même quelques avocats". comme le rap "concentre de plus en plus sur la violence", Gitell affirme que, "les Juifs restèrent  impliqués".

Voilà comment les Juifs veulent se le rappeller. Straight Outta Compton (plus que toute autre production hollywoodienne) donne le point de vue noir. Dans puissant climax du film membres NWA cassent de l'emprise de leur manager juif abusif Jerry Heller et d'obligations à nouveau que Brothers qui comprennent que leur talent brut et l'unité sont beaucoup plus puissant que le mythe de l'argentier féerique juif.

Jerry Heller et Eazy E

Mais NWA n'a pas réaliser cela jusqu'à ce qu'Ice Cube ne quitte le groupe et ne fasse une sortie très publique à propos des malversations financières de Heller. Dans sa chanson "No Vaseline" Cube rappe :

"it's a case of divide and conquer  
c'est un cas de diviser pour mieux régner  
cuz you let a jew break up my crew  
car vous laissez un Juif briser mon crew 
cuz you can't be in a nigga 4 life crew 
car vous ne pouvez pas être dans le Nigga 4 life crew 
with a white jew telling you what to do" 
avec un Juif blanc vous disant quoi faire 


Comme illustré dans le film, Heller, joué avec brio par Paul Giamatti, exige que le NWA réponde  à "l'antisémitisme" d'Ice Cube. Heller est tellement secoué par les paroles crues et véridiques de cube qu'il engage le groupe terroriste sioniste, la Ligue de Défense Juive apparemment pour sa protection physique.

Jason Mitchell dans le rôle d'Eazy E et Paul Giamatti dans celui de Jerry Heller
Tout cela conduit à l'interrogatoire près de la piscine où Ice Cube (et non Heller) se confronte aux Juifs pour son "sectarisme". Lorsque le journaliste, qui ressemble à l'ancien directeur national de l'Anti-Defamation League (ADL), Abraham Foxman, le questionne à propos de la chanson, le frère Ice Cube insiste pour dire qu'il n'est pas antisémite, mais qu'il est juste "anti-Jerry Heller".

Alors, pourquoi les Juifs n'ont-il pas  hurlé à propos de ce film et de son coup de poignard quant à l'exploitation juive des artistes noirs ? Ont-ils été roulés par les producteurs du film Dr. Dre et Ice Cube? La critique juive du film a été muette et minimisée. L'ADL, qui croit que chaque Noir né "antisémite", n'a inhabituellement rien dit.

Le fait est, les Juifs ont décidé d'encaisser le coup dans ce film, plutôt que d'exposer ce qui est arrivé quand Ice Cube a répondu à l'accusation «d'antisémitisme» le 31 Octobre 1991, lors de la confrontation à Los Angeles. Cube a peut être quitté Jerry Heller, mais son nouveau publiciste était Bill Adler, un Juif sioniste qui était un de ces puissants hommes d'affaires blancs du milieu HipHop nommé par Nelson George. Adler était présent durant cette confrontation, mais ce n'était pas une interview, c'était une conférence de presse et il rappela d'autres détails de cette rencontre:


A l'issue d'une conférence de presse vantant son nouvel album, Death Certificate, l'artiste rap super-populaire [Ice Cube] tenait un livre ayant l'ar volumineux et dit, "Je veux que tout le monde se renseigne sur ce livre." flanquée de deux gardes du corps parfaitement habillés, mais à l'allure féroce, et lisant la couverture du livre, il dit: "c'est de la relation secrète entre les Noirs et les Juifs et il est écrit par la Nation de l'Islam. Mais toutes les pages ont été écrites par des érudits et des leaders juifs. [La Nation de l'Islam] est simplement allée dans une bibliothèque, a rapporté des articles et les a mis dans son livre. Donc, je veux que vous vérifiez tous cela parce que quand ils poursuivent nos frères pour ça, euh, ce sont des conneries. Vous voyez ce que je veux dire? Il suffit de regarder à ce livre. Donc,  que tout le monde essaye de trouver ce livre ! "


On peut facilement comprendre pourquoi un portrait fidèle de cet incident n'a pas sa place dans "Straight Outta Compton". Ice Cube disait en réalité aux Juifs qu'avant de pointer la paille dans l'œil de son voisin, il fallait voir la poutre de le sien. Jamais auparavant un Noir célèbre ne se leva pour lutter contre une accusation «d'antisémitisme» en confrontant les Juifs à leur profonde implication dans la traite négrière. Et, ils ne se doutaient certainement pas, qu'un rappeur de Compton pousse ses millions de fans dans les bibliothèques pour détruire le mythe selon lequel les Juifs étaient les "amis" historiques des africains.

Ice Cube n'a jamais dit au journaliste juif de "sortir" ; il lui a dit de lire au sujet des Juifs devenus marchands d'esclaves, commissaires-priseurs, propriétaires de plantations, armateurs de négriers, assureurs et financiers de la traite. Et d'étudier les politiciens juifs qui ont aidé à créer et à appliquer les lois Jim Crow; les marchands juifs qui ont ciblé les métayers de coton noirs, devenant extrêmement riche grâce à cela; et les Juifs qui sont devenus membres du Ku Klux Klan et même fournisseurs d'armes à feu, de draps, et de cagoules pour le Klan!


Professor Griff de Public Ennemy
Ice Cube suivait L'Honorable Ministre Louis Farrakhan, qui, lorsqu'il fut confronté à ces accusations malveillantes, poussa les érudits de la Nation de l'Islam effectuer des recherches et à étudier, plutôt que de fuir, se cacher, se prosterner, plaider, ou s'excuser. Il appela les Noirs à élever le débat vers un dialogue véritable et éclairé. Ice Cube suivit ce conseil, comme Public Enemy. Ce groupe a subi les mêmes pressions juives, mais lorsque leur ministre de l'Information Professor Griff brandit The Secret Relationship Between Blacks and Jews pour se défendre les managers juifs le forcèrent à quitter le groupe.

Cela n'a pas découragé Ice Cube qui neutralisa et maîtrisa ses ennemis, et il fut donc en mesure de créer son propre espace pour faire de la musique sans ces exploiteurs qui hantent nombre de nos artistes noirs.

Avec le succès de Straight Outta Compton (qui a coûté 28 millions $ et rapporté 200 millions $ après seulement sept semaines), peut-être la suite sera mis que nos artistes se sentiront libres de dire toute la vérité sur la relation secrète entre Rap et les Juifs.




Source : http://noirg.org/


Traduction : Franswa Makandal

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