lundi 25 août 2014

Le "Moors Sundry Act" de 1790



Le "Moors Sundry Act" de 1790 adoptée par la législature de Caroline du Sud, accordait un statut spécial pour les sujets du sultan du Maroc, Mohammed ben Abdallah. Cette loi reconnait les Maures en tant que blancs avec la fonction de juré comme privilège. Les Maures ne furent pas soumis aux lois régissant les Noirs et les esclaves.

1° Pétition du "Sundry Free Moors" :


Le 20 Janvier 1790, une pétition fut présentée à la Chambre des représentants de Caroline du Sud  par un groupe de huit personnes qui étaient sujets de l'empereur marocain et résidents de la colonie. Ils voulaient au cas où ils venaient à commettre une faute prête à être traduite en justice, en tant que sujets d'un prince allié avec les États-Unis par le traité d'amitié américano-marocain, être jugés comme des citoyens et non en vertu de la "Negro Act" de 1740.


Les membres des "Free Moors", Francis, Daniel, Hammond et Samuel adressèrent une pétition en leur nom propre et de celui de leurs épouses Fatima, Flora, Sarah et Clarinda. Ils expliquèrent comment quelques années auparavant, tout en combattant pour la défense de leur pays, eux et leurs épouses furent capturés et faits prisonniers de guerre par les Portugais. Après cela, un certain capitaine Clark les fit livrer à lui, promettant qu'ils seraient rachetées par l'ambassadeur du Maroc résidant en Angleterre, et renvoyés dans leur pays. Au lieu de cela, il les transporta en Caroline du Sud, et les vendit comme esclaves. Dès lors, "par la plus grande des entreprise," ils achetèrent leur liberté auprès de leurs maîtres respectifs: Ils demandèrent qu'en tant que sujets libres de naissance d'un prince en allié avec les États-Unis, ils ne devraient pas être considérés comme soumis à une loi de l'État (alors en vigueur) dite "loi nègre". S'ils sont reconnus coupables d'un crime ou d'un délit, ils devraient bénéficier d'un procès équitable devant un jury légale. La question fut renvoyée à un comité composé du juge John Grimke, du Général Charles Pinckney et d'Edward Rutledge.


2° Free Moors Petition: Décision 


L'ordre pour l'examen immédiat de la question fut lu et approuvé comme suit : 

"Ils ont Considéré de même et sont d'avis qu'aucune Loi de cet État ne peut dans sa Construction ou son fonctionnement s'appliquer à eux, Et que les personnes qui sont les Sujets de l'Empereur du Maroc étant Libre dans cet État ne sont pas justiciable selon la Loi commandant pour le meilleur ordre et la meilleure direction des Noirs et autres esclaves. "

Sources : State Records of South Carolina. Journals of the House of Representatives, 1789-90. Michael Stevens, Christine Allen: Pub. for SCDAH by USC Press: ©1984 SCDAH 1st Ed. Pub. by University of South Carolina Press ISBN 0-87249-944-8 (1511 words)

dimanche 24 août 2014

Notre oppresseur représente la mort



"Une des choses que nous devons reconnaître, c'est que notre oppresseur représente la mort; notre oppresseur est mortel, ces personnes sont mortes. Il y a la mort autour d'eux, c'est la raison pour laquelle ils sont mortels en tant que peuple, c'est pourquoi chaque avancée des connaissances pour eux est une avancée dans la connaissance de la destruction. Chaque avancée des connaissances est une avancée dans la capacité de tuer et de détruire la terre, tuer et détruire la nature, tuer et détruire les autres, violer et voler la terre de ses richesses, les gens et les formes de vie, tant et si bien que maintenant, ils ont beaucoup de difficulté à même se reproduire. au centre de leur vie, c'est la mort et la destruction ".

~ Dr Amos N. Wilson Afrikan-Centered Consciousness Versus The New World Order 

lundi 18 août 2014

ET DIRE QU'ILS CONSIDÉRAIENT LE RETOUR EN AFRIQUE IMPOSSIBLE...

Avec son amie et collègue, Nina Penda Faye


Incarcérés dans les limites de leurs esprits, quelques uns parmi mes semblables, plus francophiles que les Français eux mêmes (pauvres d'eux...) disaient le retour en Afrique impossible pour un afro-descendant. Ils débattaient pleins d'arrogance et de virulence à mon encontre, les mains pleines de bucket KFC, me traitant de fou (car je rêvais de développer notre continent) prédisant qu'il m'était impossible de m’intégrer sur la terre MÈRE, car à les ’entendre, un Noir de la diaspora avait un logos français incompatible avec la vie en Afrique. Eux mêmes, pourtant africains, qui faisaient des pieds et des mains, qui se mettaient bien souvent à quatre pattes pour être acceptés par une civilisation occidentale (qui n'est pas la leur), pensaient que se réintégrer auprès de leurs semblables, leurs aïeux, était IMPENSABLE, INFAISABLE, IRRATIONNEL.

Et pourtant, même si rien ne fut facile, JE SUIS VENU, J'AI VU, J'AI PERCE, J'AI VAINCU.

J'ai pleuré sur ce continent africain au début, déboussolé par les difficultés d'adaptation, l'abandon des privilèges d'Occident, et de sa société de surconsommation, puis j'ai souri. J'ai souffert lors des premiers temps, puis je me suis épanoui. 



Traité par les gouvernements européens comme un terroriste (http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/autorites-genevoises-refoulent-predicateur-panafricain-kemi-seba/story/18547002), l'Afrique m'a décoré, m'a anobli, me présentant pour ce que je suis réellement (http://www.nofi.fr/categories/97-biographies/articles/1004-kemi-seba#.U_CMTfkhB8E), un penseur et activiste panafricain anti-mondialiste, prêt à tout pour contribuer à la défense de son peuple, sur le continent ou dans la diaspora.

Un homme, qui, avec tous les peuples opprimés, est ami. Connu au départ par de nombreux frères et sœurs de la diaspora, mais par très peu d'Africains continentaux (à part les cercles panafricanistes qui suivaient mon combat face à l'oligarchie française en Occident), l'émission TV le GRAND RENDEZ VOUS m'a permis de me faire entendre de millions de gens (qui pour la plupart, n'ont pas accès à internet), pas seulement au Sénégal, mais dans toute la partie francophone du continent.
Je faisais des conférences dans les caves ou les ghettos en Occident, ostracisé que j'étais par le français gouvernement, je peux aujourd'hui m'exprimer dans les plus prestigieuses universités africaines de tous les temps. Je donne de la force à une masse importante de gens, pour qui la dignité est la première des traditions.
Avec des fans d'une école supérieure de commerce à Dakar.

Mon discours n'exhorte pas TOUS MES PARTISANS de la diaspora à rentrer en Afrique, car c'est INFAISABLE, tout le monde n'est pas prêt à abandonner tous les avantages qu'offre le confort de cette BABYLONE que nous critiquons tant pourtant, et d'autre part, d'autres peuvent aider la terre mère, en s'organisant communautairement parlant, de là où ils sont (sur la terre oxydée d'Occident), à l'image des diasporas chinoises à travers le monde. Sans parler de l'avant-garde du peuple d'Afrique, les Caribéens, qui n'ont pas nécessairement besoin de rentrer en Afrique pour se battre pour les nôtres, tant leur indépendance sur leurs propres îles serait déjà une LIBÉRATION pour nous tous, compte tenu du fait qu'ils sont plus que jamais UN SYMBOLE IMPORTANT POUR nous autres panafricains dans notre ensemble.
Je dis simplement, que la minorité des nôtres ou les Occidentaux qui ne croient en nos rêves, écartez vous, car nous ne vous demanderons pas d'autorisation pour entamer le processus de RÉSURRECTION de notre continent.

~ Kemi Seba

mercredi 13 août 2014

Génocide...

Génocide : n.m




[Crime contre l'humanité tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux ; sont qualifiés de génocide les atteintes volontaires à la vie, à l'intégrité physique ou psychique, la soumission à des conditions d'existence mettant en péril la vie du groupe, les entraves aux naissances et les transferts forcés d'enfants qui visent à un tel but.]

~ Larousse

Malcolm X annonçant l'Organisation de l'unité africaine:



"Les Blancs peuvent nous aider, mais ils ne peuvent pas se joindre à nous. Il ne peut y avoir d'unité entre noirs et blancs tant qu'il n'y a pas d'abord une unité certaine entre noirs ... Nous ne pouvons pas penser à l'union avec les autres, tant que nous ne sommes pas d'abord unis entre nous. Nous ne pouvons pas penser à être acceptable pour les autres tant que nous n'avons pas d'abord prouvé que nous sommes acceptables pour nous-mêmes ".

~ Malcom X 

La barbarie blanche


William Montgomery Brown (1855 - 1937), parfois appelé "Bad Bishop" Brown, était un pasteur anglican et un auteur.
"Durant les deux ou trois premiers millénaires de civilisation il n'y avait aucun hommes blancs civilisés sur Terre. La civilisation fut fondée et développée par les races basanés de Mésopotamie, de Syrie et d'Egypte, et la race blanche est restée tellement barbare qu'à cette époque un prêtre égyptien ou babylonien aurait dit que les racailles des tribus blanches à quelques centaines de miles au nord de leur civilisation étaient désespérément incapables d'acquérir la connaissance requise  pour progresser. Ce fut les peuples de couleur partout au Sud, en Chine, en Amérique centrale, en Inde, en Mésopotamie, en Syrie, en Egypte et en Crète qui  donnèrent aux peuples blancs du nord la civilisation. "



~ (Mgr William Montgomery Brown, The Bankruptcy of Christian Supernaturalism, vol. 2, p. 192)


National Geographic corrobore les enseignements à propos de Yakub



La prestigieuse «National Geographic Society» a indiqué que les scientifiques étudiant l'ADN ont confirmé que «les Européens en tant que peuple sont plus jeunes que nous le pensions». Utilisant des mesures objectives de la génétique ils indiquent la même date de naissance de l'Europe que Très honorable Elijah Muhammad. Le professeur Alan Cooper, directeur du Centre australien pour l'ADN ancien de l'Université d'Adélaïde, analysa l'ADN de squelettes anciens et constata que la composition génétique de l'Europe moderne fut établie il y a seulement 6500 années.

C'est M. Muhammad qui, face à de beaucoup de raillerie et de dérision, enseigna que l'homme blanc est apparu il y a 6000 ans sur l'île de Patmos (ou Pelan), dans la mer Egée, où ils avaient été «crée» par un processus de reproduction sélective de 600 ans «greffage». Sous le commandement d'un scientifique noir nommé Yakub, les 59 999 noirs qui vinrent avec Yakub sur l'île furent placés sous un système d'accouplement qui basée sur la couleur de peau, dans lequel seules les bébés aux teints plus clair furent autorisés à survivre. Apres de nombreuses générations, la population de Patmos commença à devenir de plus en plus claire jusqu'à ce qu’après 600 années, les gens devinrent très pâles avec les yeux bleus et les cheveux blonds. De cette tribu insulaire d’albinos à la peau blanche vint une race de dirigeants au comportement agressif, à savoir les Caucasiens, qui s'est ensuite propagée dans tous les coins du monde représentant désormais 9% de la population mondiale (1 tous les 11 êtres humains).

Cet enseignement de la naissance de la race blanche fut au cœur du système de croyance de la nation de l'Islam et il fut accueilli avec hostilité et résistance profonde par ses détracteurs, qui l’appelèrent le plus souvent, «l'enseignement de la haine». Le Très Honorable Elijah Muhammad faisait référence Caucasien comme étant «l'homme nouveau» qui «est venu de nous, mais qui est différent de nous». Mais cet enseignement sur «l’homme nouveau» est en contradiction avec l'hypothèse selon laquelle les humains modernes apparurent en Europe il y a 40,000 à 50,000 ans. Il créa un schisme théologique qui aboutit à une impasse dans la compréhension interreligieuse. Mais c'est une impasse théologique dans laquelle les scientifiques laïques sont désormais entrés pour surmonter la controverse.

La mise en lumière, par le professeur Cooper, de cette date de naissance particulière de 6.500 ans a suscité des questions plus profondes sur le processus génétique menant à cette date. M. Cooper a dit que: «La génétique montrent que quelque chose autour de cette date provoqua la disparition des signatures génétiques des populations antérieures. Cependant, nous ne savons pas ce qui s'est passé et pourquoi». Mais il y a plus de 80 ans Elijah Muhammad mis à la fois en évidence la date et détailla le processus par lequel cela s'est produit. Cette dernière étude menée par le professeur Cooper affine et renforce d'autres études récentes. Le Dr Keith Cheng, un généticien de l’University College of Medicine de l'État mena une étude montrant l'évolution d'un gène de la couleur de peau et suggéra que les Européens «s’éclaircirent tout récemment, peut-être il y a seulement 6.000 à 12.000 ans».

Le Dr. Hans Eiberg de l'Université de Copenhague confirma que tous les êtres humains aux yeux bleus eurent une «mutation génétique» qui a eu lieu selon lui il y a 6 à 10 mille ans. Son équipe découvrit un gène spécifique, appelé le gène OCA2, qui en cas de modification aboutirait à des êtres humains sans mélanine dans les cheveux, les yeux, ou la peau, un état connu sous le nom d'albinisme. Ainsi, ce gène OCA2 semble avoir été ciblée et manipulé par une force ou un événement, il y a environ 6000 ans.

Des chercheurs de l'Université de Chicago trouvèrent «où les gènes semblent avoir été remodelé par la sélection naturelle ... dans les 5.000 à 15.000 dernières années». Le Dr Jonathan Pritchard estime que les gènes des populations asiatiques et européennes furent modifiés il y a 6600 ans ; la date exacte à laquelle l'hon. Elijah Muhammad enseigna que M. Yakub commença son processus de greffage sur Patmos! Les scientifiques disent que «les gènes sélectionnés, qui affectent la couleur de peau, la texture des cheveux et la structure osseuse, peuvent sous-tendre les différences actuelles dans l'apparence raciale». Mais qui les a «sélectionnés» et pourquoi reste de la spéculation.

Ces scientifiques (Cooper, Eiberg, Cheng, et Pritchard) ont scientifiquement mis le doigt sur une date dans le temps qui correspond théologiquement à l'enseignement de la Nation de l'Islam. Mais les scientifiques sont encore incapables d'expliquer la raison de cette convulsion génétique spectaculaire dans la famille humaine. Le Professeur Cooper déclara que: «Cette population se déménage aux alentours 4000 à 5000 [avant JC], mais sa provenance reste un mystère, puisque nous ne voyons rien de semblable dans les zones environnantes de l’Europe».

L'honorable Min. Louis Farrakhan parla de l'enseignement controversé du Messager:

Yakub était un scientifique qui vit dans le patrimoine génétique de l'homme noir qu'il pouvait sortir de nous un peuple nouveau, à l'opposé de l'original. C'est pas mal. C'est une grande science. 

Et c'est cette grande science du greffage raciale qui fut répété plusieurs fois depuis la première expérience de Yakub à Patmos. La longue histoire de la colonisation européenne fut examiné dans l'article 2012 Final Call «Echoes of Mr. Yakub after Patmos» qui montre comment les blancs utilisèrent, de façon répétée, les îles comme laboratoires pour modifier les caractéristiques raciales des peuples d'Afrique, des Caraïbes, et d’Amérique du Sud , la création de «sous-races» de mulâtres qui furent utilisés pour régner sur les esclaves africains et indiens. En d'autres termes, les Blancs ne se moquèrent jamais de la haute science de Yakub.

En fait, il existe de nombreux échos de l'œuvre de Yakub qui furent relatés par d'autres histoires, religions et folklores, y compris le judaïsme. Les anciens rabbins utilisent le récit biblique des troupeaux de moutons et de chèvres greffés de Jacob pour attester des enseignements de M. Muhammad. Dans Genèse 30:35 il est dit que Jacob (traduction française du nom Yakub) était capable de produire du bétail anormalement coloré grâce à l'utilisation d'une technique de reproduction habile. Il fallut six ans à Jacob succès pour changer, de manière significative la couleur du troupeau. Le livre des traditions juives appelé le Midrash Rabba utilise effectivement cette histoire de la Bible pour expliquer la naissance des enfants blancs de parents noirs, qu'ils considèrent comme un événement tout à fait positif (tout comme Yakub). De manière significative, ces rabbins Caucasiens (se présentant toujours dans leurs écrits comme supérieurs aux Noirs) utilisent ce passage apocryphe pour expliquer, sans le vouloir, leur origine raciale en termes deprocessus de sélection.

Et avec l'aide du puissant petit livre de Lawrence Guthrie «The Making of the Whiteman», nous sommes amenés à d'autres témoignages plus récents. Le théologien baptiste Bernard L. Ramm a expliqua:

Par reproduction scientifique, nous pouvons mélanger ces gènes et leurs caractéristiques et reproduire les traits ou les élever .... Les lois de l'hérédité, ainsi que les principes de séparation ou de sélection fonctionnant sur une période de temps, vont produire les différentes races du monde. 

Les chefs religieux ne sont pas les seuls à faire allusion à un homme récemment créé. Les scientifiques également attaquèrent à ce qu'ils considéraient comme l'aspect insolite de cette étrange anomalie humaine, l'homme blanc. L'anatomiste néerlandais Lodewijk "Louis" Bolk écrivit dans «Origin of Racial Characteristics in Man», «la peau blanche ... commença à partir d'un ancêtre avec une peau noire, la chevelure et l'iris coloré des descendants furent supprimées petit à petit».

Le naturaliste anglais Charles Darwin notable conclut que sans une certaine forme de reproduction sélective, les différences de couleur de peau tout simplement «ne peuvent pas être pris en compte de manière satisfaisante» :

Nous avons jusqu'à présent été déconcerté dans toutes nos tentatives pour expliquer les différences entre les races de l'homme, mais il reste un organisme important, à savoir, la sélection sexuelle, qui semble avoir agi avec autant de force sur l'homme comme sur beaucoup d'autres animaux. 

Le médecin anglais James Cowles Prichard conclut de même que les différences physiques entre les races humaines ne pouvaient résuler que d'une méthode comparable au «le processus de sélection artificielle pratiquée par les sélectionneurs de plantes et d'animaux». Il semble, dit-il «probable que les plus belle races de Blancs d'Europe, sont les descendants de nègres ...».

Le biologiste américain Edwin Grant Conklin écrivit dans «The Evolution of Man» :

Il est évident que les races distinctes n'ont pu être établie et perpétuée que par l'aide de l'isolement, principalement géographique.

Les anciens Egyptiens s’inquiétaient au sujet d'une tribu de gens aux yeux bleus immigrante parmi eux qui semblaient avoir un penchant pour semer le trouble. Ils avaient les cheveux roux ou blonds et les yeux bleus et vivaient à la lisière du désert. Les Egyptiens les appelaient Tamahu (ceux qui furent créé) une allusion claire à leurs origines inhabituelles.

Ce sont des témoignages extraordinaires de la vérité enseignée par le Très Honorable Elijah Muhammad, pourtant aucun de ces témoignages scientifiques ne furent jamais étiquetés «de haineux». Ce sont les derniers à se tenir debout pour les vérités révélées par le Sauveur et son serviteur le plus puissant, l'Honorable Ministre Louis Farrakhan.


Source : http://noirg.org/
Traduction  : Franswa Makandal

dimanche 10 août 2014

Oppenheimer, Tempelsman, Gertler, Leviev, ces z'amis qui aiment l''Afrique (ou plutôt ses diamants)



Il y a 2 choix, soit voir à travers l'histoire de ces personnages une collection de fabuleuses "success stories", avec des Hommes partis de rien (Bon, rien que quelques millions de scheckels on vous l'avoue..) qui ont fait fortune (au delà des grandes richesses qu'ils avaient déjà) sur le sol africain. 

Il y a une autre possibilité qui est celle de comprendre que l'implantation de ces colons diamantaires se fait sur notre sang et avec la complicité, que dis je, la corruption la plus putride, de nos dirigeants. Nous opterons bien évidemment donc pour la 2eme option.

Ils ont tous en commun de n'être en Afrique que pour le diamant, le pétrole, les richesses naturelles et les bénéfices qu'ils peuvent en tirer (ils n'ont pas tort, vu que nous autres ne nous servons pas de notre propre sol, d'autres le font à notre place), d'avoir cette capacité à tisser des liens avec les roitelets africains et autres présidents auto-proclamés. Accusés de déclencher bon nombre de conflits, ils se drapent en réaction du manteau de la philanthropie en créant 2 ou 3 écoles chacun et des hôpitaux (pour soigner les victimes de guerres qu'ils ont souvent déclenchées).

Le sang coule souvent non loin du chemin qu'ils ne cessent d'arpenter. Et si, bien souvent, les Z'AMIS ne sont pas loin de lieux où se déroulent des affrontements entre différentes milices, c'est qu'on y découvrira peu après (si ce n'est pas connu déjà) des gisements importants de pétrole ou alors des mines de diamants inexplorées.

Ces Z'élus, à l'image de Maurice Templesman, sont proches de tout ceux qui peuvent leur assurer une protection. De la CIA à Mobutu, en pensant par Savimbi, ils ont l'élasticité nécessaire et très peu de moral lorsqu'il s'agit de pérenniser leur religion nommée "profit".

Nous vous proposons, pour en savoir plus, cet article de Christophe Ayad paru à Libération en 2007 sur nos princes du diamant. Un article soft évidemment, (lisez le nom de l'auteur, vous comprendrez...) mais qui a le mérite de donner une base de réflexion :

"Nicky Oppenheimer, 61 ans, est le dernier des géants. La famille Oppenheimer, des juifs émigrés en Afrique du Sud est devenue indissociable de la De Beers depuis qu'elle en a pris le contrôle en 1929. Longtemps, De Beers a exercé un véritable monopole de la commercialisation du diamant, fixant les prix sans rapport avec l'offre ou la demande. Dix fois par an, l'entreprise convoque ses sightholders (ceux qui ont le droit de voir) à Londres. Ils se voient proposer, un à un, des lots de pierres brutes. Il n'y a pas de négociation sur le prix, la quantité ou la qualité. C'est à prendre ou à laisser. De Beers impose même de choisir ses propres sightholders. Tout en verrouillant l'amont, la société investit dans le marketing pour élargir l'aval. Le diamant, privilège des têtes couronnées jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, devient l'incontournable synonyme des fiançailles. La pierre se démocratise, notamment grâce à Marylin Monroe qui chante "Diamonds are girls best friends". 

Arrivé à la tête de l'entreprise en 1998, Nicky Oppenheimer trouve une maison en crise et un marché bousculé par l'arrivée de la Russie, du Canada et de l'Australie. De Beers se lance dans la commercialisation de détail. A la suite d'une alliance avec LVMH, des boutiques De Beers ouvrent aux galeries Lafayette à Paris. Pour répondre aux accusations d'alimenter les conflits en Afrique, De Beers a beaucoup oeuvré en faveur du processus de Kimberley, qui permet théoriquement la traçabilité et la certification du diamant. Maurice Tempelsman, surnommé "Tonton Maurice", est un des sightholders privilégiés de De Beers. Né en Belgique en 1929, dans une famille de diamantaires juifs, il émigre à New York au moment de la Seconde Guerre mondiale. C'est en Afrique qu'il fait fortune, notamment grâce à ses liens avec l'administration américaine, et plus particulièrement avec les démocrates. En cheville avec la CIA, il finance les campagnes électorales des Kennedy (il est le dernier mari de Jackie Onassis), de Lyndon Johnson, Jimmy Carter et Bill Clinton. Au temps de la guerre froide, il a été un proche du maréchal Mobutu, allié des Etats-Unis contre la menace communiste, notamment en Angola. Tempelsman aide Mobutu à détourner une partie de la production nationale et use de ses liens avec le chef de la rébellion, Jonas Savimbi, pour exploiter le sous-sol angolais, du moins en zone rebelle. On le trouve aussi en Namibie, en Russie et en Sierra Leone, où il travaille main dans la main avec De Beers. Dans les années 90, Mobutu est renversé et Savimbi tué. Dans la région, "Tonton Maurice" se fait supplanter par de jeunes loups comme Dan Gertler...

Dan Gertler, 39 ans, débarque une fois par mois en République démocratique du Congo, de son jet privé. Vêtu d'une kippa noire, entouré d'un rabbin et d'un garde du corps, il vient chercher son "dû". En 2000, il négocie avec feu Laurent-Désiré Kabila un contrat lui réservant l'exclusivité de l'exportation des diamants congolais... contre 20 millions de dollars, au grand dam des négociants libanais pourtant bien implantés. Joseph Kabila, son fils et successeur, a cassé le contrat sous la pression internationale. Pour en rédiger un autre, qui permet à l'Israélien d'acheter 80 % de la production à prix fixe. Sous-évalué, disent les mauvaises langues. Petit-fils de Moshe Schnitzer, président de l'Institut israélien du diamant et neveu de Shmuel Schnitzer, président de la Bourse israélienne du diamant, Gertler, proche des milieux ultraorthodoxes, illustre la montée en puissance de Tel-Aviv face à Anvers.

Lev Leviev fait partie, lui aussi, des magnats israéliens du diamant. Ce juif russe de 50 ans, fils de rabbin, émigre en Israël en 1972. Il use de ses liens en ex-URSS, soutien de Gorbatchev, il est aujourd'hui proche de Poutine pour s'assurer un approvisionnement en diamants bruts, au nez et à la barbe de De Beers, avec qui il rompt avec fracas en renonçant à son statut de sightholder. Ses relations lui sont utiles pour mettre un pied puis les deux en Angola, où il traite avec le pouvoir ex-marxiste. Ensuite, c'est la Namibie, aux portes de l'empire De Beers. Dernier sacrilège : il aide l'Afrique du Sud à monter des usines de polissage, alors que De Beers avait toujours pris soin de cloisonner lieux d'extraction et de traitement."


Comme vous le voyez, dans cet article un tantinet édulcoré, mais néanmoins proche de la réalité, ces magnats du diamant sont à la tête de véritables cartels diamantaires, vivant sur notre dos, aidés par nos chefs d'états qui nous plantent quotidiennement des couteaux dans le dos. Il ne tient qu'au peuple, de tard ou tôt, se rebeller, et se réapproprier, ce que l'oligarchie mondialiste a décidé de s'accaparer., à notre détriment en faisant couler notre sang abondamment comme si ce dernier était de l'eau.

Dan Gertler, , débarque une fois par mois en République démocratique du Congo, de son jet privé. Vêtu d'une kippa noire, entouré d'un rabbin et d'un garde du corps, il vient chercher son "dû". En 2000, il négocie avec feu Laurent-Désiré Kabila un contrat lui réservant l'exclusivité de l'exportation des diamants congolais... contre 20 millions de dollars, au grand dam des négociants libanais pourtant bien implantés. Joseph Kabila, son fils et successeur, a cassé le contrat sous la pression internationale. Pour en rédiger un autre, qui permet à l'Israélien d'acheter 80 % de la production à prix fixe. Sous-évalué, disent les mauvaises langues. Petit-fils de Moshe Schnitzer, président de l'Institut israélien du diamant et neveu de Shmuel Schnitzer, président de la Bourse israélienne du diamant, Gertler, proche des milieux ultraorthodoxes, illustre la montée en puissance de Tel-Aviv face à Anvers.

Lev Leviev fait partie, lui aussi, des magnats israéliens du diamant. Ce juif russe de 50 ans, fils de rabbin, émigre en Israël en 1972. Il use de ses liens en ex-URSS, soutien de Gorbatchev, il est aujourd'hui proche de Poutine pour s'assurer un approvisionnement en diamants bruts, au nez et à la barbe de De Beers, avec qui il rompt avec fracas en renonçant à son statut de sightholder. Ses relations lui sont utiles pour mettre un pied puis les deux en Angola, où il traite avec le pouvoir ex-marxiste. Ensuite, c'est la Namibie, aux portes de l'empire De Beers. Dernier sacrilège : il aide l'Afrique du Sud à monter des usines de polissage, alors que De Beers avait toujours pris soin de cloisonner lieux d'extraction et de traitement.





Maurice Tempelsman, surnommé "Tonton Maurice", est un des sightholders privilégiés de De Beers. Né en Belgique en 1929, dans une famille de diamantaires juifs, il émigre à New York au moment de la Seconde Guerre mondiale. C'est en Afrique qu'il fait fortune, notamment grâce à ses liens avec l'administration américaine, et plus particulièrement avec les démocrates. En cheville avec la CIA, il finance les campagnes électorales des Kennedy (il est le dernier mari de Jackie Onassis), de Lyndon Johnson, Jimmy Carter et Bill Clinton. Au temps de la guerre froide, il a été un proche du maréchal Mobutu, allié des Etats-Unis contre la menace communiste, notamment en Angola. Tempelsman aide Mobutu à détourner une partie de la production nationale et use de ses liens avec le chef de la rébellion, Jonas Savimbi, pour exploiter le sous-sol angolais, du moins en zone rebelle. On le trouve aussi en Namibie, en Russie et en Sierra Leone, où il travaille main dans la main avec De Beers. Dans les années 90, Mobutu est renversé et Savimbi tué.




Nicky Oppenheimer, le dernier géant de la famille Oppenheimer, des juifs émigrés en Afrique du Sud est devenue indissociable de la De Beers depuis qu'elle en a pris le contrôle en 1929. Longtemps, De Beers a exercé un véritable monopole de la commercialisation du diamant, fixant les prix sans rapport avec l'offre ou la demande. Dix fois par an, l'entreprise convoque ses sightholders (ceux qui ont le droit de voir) à Londres. Ils se voient proposer, un à un, des lots de pierres brutes. Il n'y a pas de négociation sur le prix, la quantité ou la qualité. C'est à prendre ou à laisser. De Beers impose même de choisir ses propres sightholders. Tout en verrouillant l'amont, la société investit dans le marketing pour élargir l'aval. Le diamant, privilège des têtes couronnées jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, devient l'incontournable synonyme des fiançailles. La pierre se démocratise, notamment grâce à Marylin Monroe qui chante "Diamonds are girls best friends".
Arrivé à la tête de l'entreprise en 1998, Nicky Oppenheimer trouve une maison en crise et un marché bousculé par l'arrivée de la Russie, du Canada et de l'Australie. De Beers se lance dans la commercialisation de détail. A la suite d'une alliance avec LVMH, des boutiques De Beers ouvrent aux galeries Lafayette à Paris. Pour répondre aux accusations d'alimenter les conflits en Afrique, De Beers a beaucoup œuvré en faveur du processus de Kimberley, qui permet théoriquement la traçabilité et la certification du diamant



Par Kemi Seba, polémiste panafricaniste, auteur de Supra Négritude, et de BLACK NIHILISM (à paraître en Septembre 2014)

"Notre maison blanche se trouve dans notre Harlem noir" : Discours à Harlem le 2 Octobre 1984


"Faisons en sorte, chers frères et camarades que les générations à venir ne nous accusent pas d’avoir bradé, d’avoir étouffé l’homme noir."

Venu à New York pour s’adresser à l’Assemblée générale des Nations unies, Sankara profite de ce séjour pour se rendre le 2 octobre 1984 à Harlem. Le texte ci-dessous est la retranscription d’un enregistrement du discours que Sankara a fait l’occasion de l’inauguration d’une exposition d’art burkinabé au Centre de commerce du Tiers Monde de Harlem.



Black Oath : serment d'allégeance pour les Noirs par le Dr Frances Cress Welsing



Je jure fidélité au respect DE MA PROPRE NÉGRITUDE 
ET AU RESPECT DE TOUT AUTRES NOIRS 
(Et à toutes les nuances de noir) 
sur la planète Terre, 
Qui sont tous des victimes du système DU RACISME (la suprématie blanche) 
Et je m'engage à UTILISER TOUTE MON ENERGIE VITALE, mon intelligence et ma créativité, 
DANS TOUS LES DOMAINES  D'ACTIVITÉ
Pour éliminer le SYSTÈME MONDIAL DE RACISME (la suprématie blanche)
Sur la planète Terre et la remplacer par la justice, 
DE SORTE QU 'IL PUISSE Y AVOIR LA PAIX
Que Dieu m'y aide.

~ Dr Frances Cress Welsing

Discours à la deuxième Conférence africaine (Août 21, 1964)




Pourquoi la presse des puissances occidentales ridiculisent et minimisent constamment l'idée des Etats-Unis d'Afrique? Ils savent qu'une Afrique divisée est une Afrique faible, et ils veulent la maintenir dépendante de la "philanthropie" occidentale, ou ce qui est de plus en plus décrits ici comme du colonialisme "bienveillant". Les néo-colonialistes qui voudraient "courtiser et régner" sur l'Afrique d'aujourd'hui doivent habilement dissimuler leurs buts égoïstes dans leurs offres généreuses d'aide économique, de "Peace Corpism" ou de "crossroadism" illimitée, tous ce qui n'est rien d'autre que la contrepartie moderne du "missionarisme" du XIX° siècle.

Une Afrique unie est une Afrique forte et indépendante, une Afrique qui peut se tenir sur ses propres pieds, marcher pour elle-même, et éviter les pièges et les embûches imaginées par les impérialistes "bienveillants" pour garder le continent mère divisée, faible et dépendant de l'occident pour des raisons "philanthropique" d'aide économiques, d'orientation, de protection politique et militaire . 

~ Malcolm X

mercredi 6 août 2014

L'Africa Power d'Obama : Décimer le panafricanisme non-aligné comme ils ont décimé le "Black Power" U.S

Kemi Seba, polémiste panafricain, auteur de Supra Négritude et Black Nihilism, analyste politique au GRAND RENDEZ VOUS, conférencier dans les Universités d'Afrique de l'Ouest

Les afro-américains se sont battus pour que puisse exister un président noir siégeant dans la Maison Blanche (cf. Maison de l'Oligarchie Blanche Circoncise) . Ils ont oublié que le président n"était qu'un SIMPLE locataire de la demeure, soumis aux règles des propriétaires, accessoirement grands architectes, peu francs et maçons de cette blanche maison.

En laissant rentrer ce "black" président (comme ils l'appellent) dans cette pâle maison d'Occident, les propriétaires savaient qu'il OXYDERAIENT tout un processus de lutte noire pour la réappropriation d'un pouvoir politique auto-déterminé et INTÈGRE. Ils savaient qu'en créant une vague de soutien immense dans l'afro-communauté, ils court-circuiteraient le principe d'ébène fierté en rendant les sympathisants noirs d'Obama complices des oligarques méfaits. Martin Luther King, dans les derniers jours de sa vie, disait à Harry Belafonte, au sujet de sa lutte pour l'intégration ,"J'AI PEUR D'AVOIR FAIT RENTRER MON PEUPLE DANS UNE MAISON EN FEU" (http://www.walkingbutterfly.com/2012/01/16/mlk-jr-were-integrating-into-a-burning-house/). Il se fit assassiner lorsqu'il voulut faire marche arrière. OBAMA (avec tous ceux qui l'ont supporté) est rentré dans cette maison en feu, et pire encore, en pyromane missionnaire, a exporté ce feu aux 4 coins du monde, sur les bons conseils de ses propriétaires.
MLK Jr & Barack Obama

Après avoir décimé le BLACK POWER U.S, les propriétaires de la BARAQUE (et de BARACK) ont décidé de s'attaquer (en agissant toujours sous proxy) à l'Afrique, continent dans lequel ils ont perdu beaucoup de terrain face à la Chine. En proposant un plan énergétique d'envergure de 26 milliards de dollars pour la Terre-Mère, les USA ont pour objectif double de :

1) pousser l'Union Africaine, déjà bien fragile et malléable, à infléchir sa posture traditionnellement non alignée, lors des conflits dans lesquels les Américains sont partis pris en l'aidant plus que quiconque sur ses problèmes d'électricité, un souci majeur sur le continent.

2) Étendre des bases d'Africom, (http://www.voltairenet.org/mot2299.html?lang=fr) à terme partout sur le territoire.

En somme, désintégrer le panafricanisme anti-mondialiste, comme ils ont désintégré le BLACK POWER U.S.

Pour l'éviter il ne tiendra, qu'aux Africains, de demeurer vigilants, ne pas tomber DANS L’ÉMOTION, sous prétexte que le président noir de la Maison Blanche veut nous aider. N'oubliez pas, à toutes fins utiles, que les propriétaires de cette Maison Blanche ont fait tuer les présidents et 1er ministres noirs de nos maisons NOIRES , les mêmes qui aujourd'hui veulent nous vendre de l'espoir et leur monde illusoire.


Kemi Seba

5 suggéstions de Google qui prouvent que les stéréotypes négrophobes sont encore répandus

Le moteur de recherche de Google dispose d'une fonction de saisie semi-automatique qui suggère des termes de recherche pour aider les utilisateurs à trouver ce qu'ils cherchent plus rapidement. Il est basé sur l'activité de recherche de tous les utilisateurs du Web et le contenu des pages web indexées par Google.

Cette fonction à à plusieurs reprises défrayé la chronique pour avoir faits suggestions racistes. L'Allemagne, la Grande-Bretagne et le Japon ont tous forcé le géant du web à modifier ou à restreindre les résultats de saisie semi-automatique offensants.

Voici 5 exemples de phrases de recherche qui génèrent des suggestions racistes dans la fonctionnalité de saisie semi-automatique de Google et donc, reflète le négrophobie qui sévit encore de nos jours : 


1° Pourquoi l’Afrique...


Nous voyons que pour beaucoup Afrique rime avec pauvreté, sous-développement, retard et maladies... Rien de très positif en tout les cas.


2° Pourquoi les africains...


Notre "célèbre" odeur ainsi que nos particularités morphologiques sont encore en 2014 une source d’interrogation pour de nombreuses personnes.


3° Pourquoi les noirs...


Jugez en par vous même, certains stéréotypes négrophobes ont la vie dure...


4° Pourquoi les femmes noires...


Remarquez comment les clichés négatifs les plus persistantes visant les femmes noires sont très recherchées.


5° Pourquoi les Antillais...



De part et d'autres de l'Atlantique nul afro n'est épargné. Les afro-caribéens ont eux aussi droit aux préjugé les plus stupides hérité de la période esclavagiste...


Le but de cet article n'est en aucun cas de victimiser les afro-descendants ni de se plaindre de la négrophobie, mais simplement de faire comprendre à nos lecteurs la réalité du monde dans lequel nous évoluons, et de proposer un échantillon de question que l'on se pose sur nous dans l'intimité de sa navigation internet.


~ Franswa MAKANDAL

Les inépties des Nègres de maison : la métaphore de la ruche



Logique simple vs mentalité d'esclave : Si quelqu'un vous plonge la main dans une ruche et que 180 abeilles sur 200 vous piquent, iriez-vous dire aux gens que toutes les abeilles ne piquent pas? Iriez-vous dire aux gens de ne pas juger la ruche, mais de juger les abeilles individuellement parce que vous savez que toutes les abeilles ne vous ont pas piqué même si la majorité d'entre elle l'ont fait?

Source : https://www.facebook.com/FieldAfrikanRefuge