Entre la cooptation de la jeunesse africaine par les réseaux Soros et la soumission de bon nombre d'activistes aux dictateurs africains sous couvert de solidarité africaine, il existe une 3EME VOIE, celle de la RÉSISTANCE aux oppresseurs NOIRS et aux CORRUPTEURS BLANCS.
Le scientifique est celui qui expérimente, en vue de vérifier une théorie, ou au mieux, d'en créer une à partir de ce qu'il a testé.
Mon travail politique depuis 15 ans, m'a amené de l'activisme noir en banlieue française à l'analyse géopolitique dans les médias africains tout en écrivant mes pensées dans des ouvrages liés à la conscience noire 15 ans plus tard. Je remercie les ancêtres de me maintenir en vie malgré toutes les épreuves que j'ai eu à traverser (prison, surveillance des services européens etc), et surtout, je les remercie éternellement de me permettre de posséder cette notion, si vitale pour l'être humain, nommée "discernement".
Deux courants pullulent en Afrique francophone actuellement et sont en train d’arborer faussement le manteau de panafricanisme.
Le 1er est celui agité par bon nombre de figures des sociétés civiles africaines, souvent rappeurs, parlant de démocratie, voulant chasser des présidents africains trop longtemps restés au pouvoir sans qu'ils ne fassent rien pour le peuple. La plupart de ces mouvements est subventionné par le prétendu philanthrope américain GEORGES SOROS, qui les arrose afin qu'ils puissent promouvoir la vision occidentale des droits de l'Homme, et constituer une nouvelle classe politique africaine, fraîche, paraissant COOL, capable de vous faire des concerts suivis de meetings politiques.
Ces gens là sont dangereux, car ils touchent le cœur des gens NAÏFS en soulevant de VRAIS PROBLÈMES, (la Mal-gouvernance de nos chefs d'Etat) tout en donnant de mauvaises réponses (promotion d'un politique occidentalophile faite d'acculturation et de soumission idéologique au mondialisme).
Ils n'hésitent pas, lorsqu'ils se réunissent entre groupes africains cooptés, à se présenter comme des panafricains.
Le 2eme courant est tout aussi dangereux, en cela qu'il invoque, que dis je, CONVOQUE (en échange de quelques milliards de CFA) le panafricanisme pour laver l'honneur de chefs d'Etats Africains discrédités auprès du peuple, et qui commencent à être lâchés par l'oligarchie d'Occident (cette dernière ayant trouvé, à travers la société civile des nouveaux pions plus séduisants et plus efficaces). Si ces dictateurs , face à cet abandon de leurs anciens marionnettistes , décidaient SÉRIEUSEMENT de se radicaliser (c'était mon SOUHAIT) , et travaillaient pour l'AFRIQUE, le procédé consistant par volonté panafricaine, à les défendre serait justifiable et justifié.
Mais lorsque l'on constate que derrière les promesses (non tenues) de sortie du CFA, et les haussements de ton vis à vis des puissances coloniales (suivis d'excuses en privé vis à vis de ces dernières), il n'y a qu'une seule ligne tenue avec constance par ces dictateurs, c'est la DÉFENSE UNIQUE DE LEURS PROPRES INTÉRÊTS, et non pas ceux du peuple; il va sans dire que défendre ces derniers sous prétexte de panafricanisme constitue une TRAHISON de l'idéal de nos résistants africains d'antan.
J'ai connu, étudié au plus près ces 2 courants, travaillé sur LE TERRAIN avec chacun d'eux, car on peut difficilement critiquer un domaine que l'on a pas vu de près. Et après les avoir vu, je peux dire avec sérénité: je suis venu, je les ai vu, et si l'Afrique compte sur eux, elle EST PERDUE.
Entre la cooptation par les impérialistes EXOGÈNES et celle par les IMPÉRIALISTES ENDOGÈNES, il existe une 3ème voie, celle de l'urgente NÉCESSITÉ pour les RÉSISTANTS africains au mondialisme, de constituer face à une UNION AFRICAINE composée de ceux qui sont dans leur immense majorité, des problèmes pour leur peuple, l'UNION AFRICAINE DES PEUPLES. Car c'est le peuple qui compte, lui et lui seul. Il faudra tôt ou tard, et si possible, plus TÔT QUE TARD, que les entrepreneurs africains INDÉPENDANTS politiquement, pensent SÉRIEUSEMENT à soutenir et à financer les activistes politiques souhaitant constituer cette UNION AFRICAINE DES PEUPLES. Une structure, ONG, qui aurait des représentants dans chaque pays, et un parlement continental dans le quel CHAQUE MEMBRE SERAIT ÉLU. Si cette structure prend du poids et marque les esprits par ses actions SUR LE TERRAIN, TÔT OU TARD, l'Union Africaine des "élites" devra soit cesser son manège et compter avec NOUS,soit disparaître.
LA QUESTION réelle est: "qui est prêt à risquer le PEU DE LIBERTÉ QU'IL A POUR CONTRIBUER A NOTRE LIBÉRATION ET NOTRE AUTONOMIE RÉELLE?"